چکیده:
La critique thématique est une méthode inspirée particulièrement de la phénoménologie existentialiste. Elle se donne principalement pour but de vérifier les thèmes développés dans un texte et se concentre ainsi sur la fréquence des concepts fondamentaux. Le domaine bachelardien de cette méthode se penche en particulier sur l’analyse des quatre éléments mis à profit par chaque auteur, afin de mettre au jour l’essence de son imagination matérielle. Celle-ci se détermine par la rêverie à la base de laquelle se trouvent les matières. Mahmoud Dowlatâbâdi est un auteur persan qui doit sa renommée à un langage saillant, marqué notamment par la connaissance et le choix authentique des termes. Kalidar est son plus long roman qui réjouit à tous égards de cette maîtrise de la langue. Ce travail a pour objectif de souligner de prime abord la domination de la rêverie tellurique dans l’ensemble de l’oeuvre dowlatâbâdienne et ensuite, de faire voir la possibilité de l’union de plusieurs éléments et les modifications apportées par cette confusion, dans l’avenir des personnages de Kalidar.
خلاصه ماشینی:
Appuyé sur la psychanalyse, Bachelard emploie volontiers le vocabulaire et les thèses psychanalytiques pour déceler les liens et les rapports qu’entretiennent les images poétiques à une «réalité onirique» profonde et cela, à travers l’interrogation de quatre éléments fondamentaux caractérisant la méthode bachelardienne: l’eau, le feu, l’air et la terre.
La terre; le lieu où se déroulent les romans de Dowlatâbâdi indispensable pour tout auteur de ploi par intervalles de tous les s, un aperçu sur les romans de rouve la domination de l’élément fait, étant donné que la terre se n substances trop différentes esse d’être considérée comme un une matière unique.
village, la scène de prédilection Dowlatâbâdi, ainsi que la vie sé tribu décrite dans Kalidar facilit avec les éléments naturels, bref, la nature.
Dès les premières pag Dowlatâbâdi nous révèle que comme pour Bachelard, le véritable monde ne consiste pas en des villes de métal et de ciment.
Pour Bachelard, les constructions modernes faites des matériaux artificiels tels que le béton ne sont pas une source d’inspiration (Manusy, 1967: 303).
Ne tourne pas tant, regarde le tournoiement des éléments, l’eau ivre et le vent ivre et la terre ivre et le feu ivre» (Dowlatâbâdi, 2000: 487).
C’est ainsi qu’on peut prétendre que pour Dowlatâbâdi et surtout en ce qui concerne le protagoniste de Kalidar, «l’appel du bûcher reste un thème poétique fondamental» (Bachelard, 1949: 40).
Il devient peu à peu le véritable symbole du pouvoir: «le pouvoir, n’est-ce pas que le grand Gol Mohammad s’était fait reconnaître comme l’emblème du pouvoir dans l’esprit du peuple ?