چکیده:
Ce qui distingue le genre fantastique des autres genres littéraires, c’est l’ambiguïté entre une causalité naturelle et une causalité surnaturelle dans le dénouement d’un récit, ce qui crée un sentiment d’hésitation chez le lecteur. Avant d’être liée à son contenu, la transmission de l’effet fantastique d’une oeuvre connue pour telle, dépend de la forme et de la mise en écriture de l’événement fantastique raconté. Ainsi, le schéma syntaxique, la place du narrateur, la focalisation et le style adopté jouent un rôle de premier plan, auxquels il faut évidemment ajouter l’aspect thématique du récit. Dans cette étude comparée, nous avons tenté d’analyser la structure narrative de deux récits fantastiques des deux littératures française et persane : La Vénus d’Ille de Mérimée et Premier innocent de Golchiri, qui offrent une similitude remarquable sur le plan narratologique. Ce rapprochement, met au jour des interdépendances qui relient ces deux récits appartenant à deux espaces et époques différents mais à un même genre.
خلاصه ماشینی:
"Dans cette étude comparée, nous avons tenté d’analyser la structure narrative de deux récits fantastiques des deux littératures française et persane : La Vénus d’Ille de Mérimée et Premier innocent de Golchiri, qui offrent une similitude remarquable sur le plan narratologique.
: Fantastique, stratégies narratives, Mérimée, Golchiri, Vénus d’Ille, Premier innocent Introduction « Le fantastique […] c’est l’hésitation éprouvée par un être qui ne connaît que les lois naturelles, face à un événement en apparence surnaturel » (Todorov, 1970: 29), c’est en ces termes que Todorov, reconnu comme le critique le plus célèbre du genre depuis la publication de son ouvrage, résume le genre fantastique d’une manière générale.
Fabre propose une grille d’analyse narratologique des récits fantastiques, fondée sur l'étude de trois aspects: l'aspect syntaxique (qui traite la logique des actions et le schéma narratif constituant l’intrigue), l'aspect verbal (qui aborde les modalités internes et le style du texte touchant à la vérité au sujet de l’embryon, mais dans l’obscurité, il se fait coupé deux orteils sous le coup d’une pelle.
Dans La Vénus d’Ille, l’acte inconscient d’Alphonse ne peut pas être conçu comme une action délibérée, ce qui est démontré par son indifférence apparente pour la statue.
À cet effet, l’histoire de La Vénus d’Ille ne prend pas fin avec la mort d’Alphonse, mais avec une note sur les vignes d'Ille qui ont déjà gelé deux fois depuis que la cloche (construite avec le bronze fondu de Vénus) sonne, ce qui marque la continuité du malheur."