چکیده:
Pour rédiger ses contes fantastiques, Maupassant, emploie des structures bien diverses. Il s’efforce de côtoyer les abords du réalisme et du vraisemblable pour susciter une perplexité aussi totale que possible chez son énonciataire, afin que ce dernier, une fois terminée sa lecture ne parvienne pas à trouver une réponse adéquate à ses questions concernant les événements qui constituent l’ossature du récit. Pour présenter les procédés et les astuces dont, Maupassant, tire profit dans le conte fantastique du Horla, le présent article s’inspirera du schéma narratif canonique greimassien (SNC). Cela faisant, il parvient à semer, via les passages à l’acte du protagoniste deu Horla ainsi que par le biais des perturbations itératives, la doute, voire l’horreur dans l’esprit de son lecteur, de son énonciataire. La principale question qu’à cet égard, s’impose à l’esprit, se pose de la sorte: Quels sont les procédés qu’emploie Maupassant afin de parvenir à créer le sens de l’effarement et une peur grandissante chez l’énonciataire du Horla ? En employant les procédés tels que, le recours aux éléments réels et scientifiques, aux perturbations itératives et à l’extension du champ du malaise qui ronge l’esprit de son acteur principal, Maupassant réussit à créer la peur, voire l’épouvante dans l’esprit de son énonciataire
خلاصه ماشینی:
"Afin d’accomplir son procédé d’agrandir l’effet de la peur engendrée par l’éventuelle présence de l’être invisible, l’énonciateur du Horla prononce cette phrase qui sème une grande doute dans l’esprit du lecteur : « Qui donc était là, toutes les nuits près de moi ?» Car suivant ce que nous avons dit plus haut, l’énonciateur du récit en position de l’acteur principal du récit, pour nous faire aisément croire à la validité de ses argumentations avait déjà avancée que : « […].
En tant que crédibilité de ses épreuves décisives, l’énonciateur du Horla, eu demeurant ajoute à ses précédentes argumentations de /faire- croire/ à l’énonciataire, l’un de ses souvenirs avant sa première atteinte du mal comme suit :«J’ajoute :"Quelques jours avant la première atteinte du mal dont j’ai failli mourir, je me rappelle parfaitement avoir vu un grand trois-mâts brésilien avec son pavillon déployé…Je vous ai dit que ma maison est au bord de l’eau…toute blanche…Il était caché sur ce bateau sans doute…»(Ibid) La phrase clôturante du récit se termine en insistant sur l’éventuel déplacement de l’être invisible en provenance du Brésil et à destination de Paris, avant que notre protagoniste et énonciateur du récit, soit atteint d’un tel malaise vécu longuement par lui-même : «Je n’ai plus rien à ajouter, messieurs."